jueves, 15 de marzo de 2007

Le joli petit mois de mars. (-14)



Mais qu'elles sont désirables les giboulées de mars, celles qui arrivent par hasard et te surprennent et te font éclater de rire parce qu'elles ont ta voix et tes caresses. Qu'il pleuve, qu'il grêle, qu'il vente, tu es ma giboulée et devant nous, le printemps. Mon printemps, toi, violence et douceur, bourgeon, bouton, j'ai trouvé sous notre arbre un bouquet de feuilles naissantes qui bruissent quand je murmure ton nom, je l'ai posé sur mon visage et levé les yeux vers le ciel, oh, ma pluie, mon air froid de ciel, qu'attends-tu pour venir te marier à ma chaleur de terre? Me voici toute secouée, écrasée de fraicheur, et toute retournée.

1 comentario:

  1. Hay cosas que no pueden hacerse y, ademas, son imposibles. He hablado con Pablo y me ha dicho que te diga:

    La terre est bleue comme une orange
    Jamais une erreur les mots ne mentent pas
    Ils ne vous donnent plus à chanter
    Au tour des baisers de s'entendre
    Les fous et les amours
    Elle sa bouche d'alliance
    Tous les secrets tous les sourires
    Et quels vêtements d'indulgence
    À la croire toute nue.

    Les guêpes fleurissent vert
    L'aube se passe autour du cou
    Un collier de fenêtres
    Des ailes couvrent les feuilles
    Tu as toutes les joies solaires
    Tout le soleil sur la terre
    Sur les chemins de ta beauté.
    (P.E.)

    ...devant nous, le printemps.

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